Pièce rare s’apparentant plus à un autel de prière. La remise en état de cet ensemble a nécessité, mis à part l’ébénisterie, l’intervention de plusieurs corps de métier : dorure, apprêts peinture, filaments incrustés – ivoire – os et nacre regravée), tournage. Travail de longue haleine représentatif des familles royales ottomanes.